De très bonne heure, dans sa carriole, il charge son étal, puis il attèle « Bijou » son cheval et le voilà parti sillonner, de ferme en ferme, la campagne avoisinante. Il faisait aussi négoce au marché des villages voisins.
Une deuxième carriole dont la partie étal étant amovible devait servir pour les grandes tournées, le boucher ayant un siège pour la conduite.